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Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Johanna

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Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de JohannaVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Johanna

Parisienne d’origine, Johanna Blin épouse en 1999 Marc Bigot, un des boulangers-pâtissiers préférés des Versaillais. Rapidement conquise par la cité royale, elle quitte son métier dans le tourisme et rejoint l’entreprise familiale. Petit tour d’horizon de ses bonnes adresses à Versailles.

Qu’est-ce que vous aimez tant à Versailles ?

C’est simple, j’aime tout. Les Versaillais d’abord : j’avais entendu pas mal de choses désagréables sur eux avant mon arrivée ici, et j’ai découvert des gens chaleureux, attentifs aux autres, avec des valeurs fortes qui me correspondent. L’espace ensuite : on respire ici ! Et que de verdure ! La qualité de vie est extraordinaire : le marché, les commerces de proximité, les cinémas, le parc du château, on a tout, nul besoin d’aller dans les centres commerciaux. Je suis donc sans peine fidèle à Versailles, au quotidien.

Avez-vous des adresses fétiches pour votre shopping ?

Pour trouver des vêtements comme je les aime, je vais chez Paula B (7 rue de la Paroisse). Paula est charmante et sa sélection me parle : des pièces souples, près du corps, de jolies robes un peu rétro, bref des tenues originales en phase avec mon style. Pour les petits petons de mes donzelles, direction Un mercredi après-midi (80 bis rue de la Paroisse), où elles trouvent toujours un modèle qui leur plait. Si j’ai besoin de faire reprendre ou réparer un vêtement, je l’apporte chez De fil en aiguille (7 rue Saint-Simon) : les deux retoucheurs sont extra, drôles, efficaces et le rapport qualité/prix imbattable. Quand je cherche un cadeau déco, c’est chez Thym et Romarin (13 rue de la Paroisse) que je le trouve. Enfin, je vais volontiers à la librairie La Vagabonde (9 rue Philippe de Dangeau), avec ou sans mes filles : les libraires y sont de bon conseil et organisent souvent des événements culturels très intéressants. Vive les Versaillais dynamiques !

Côté beauté et bien-être, vers qui vont vos préférences ?

Je suis sujette aux migraines et, pour combattre efficacement cela, je fréquente le salon de Barbara, Vital Harmonie (54 rue du Maréchal Foch). Elle y propose de l’hypnose et des thérapies naturelles (notamment pour arrêter de fumer) mais aussi d’autres prestations comme le PowerPlate ou l’électrostimulation musculaire. Sinon, mon mari et moi confions nos cheveux aux équipes de Thierry Rolland (53 rue du Maréchal Foch), à qui j’achète aussi des produits exceptionnels, comme la crème de rasage pour blaireau, que j’expédie à mon papa, car il ne les trouve pas dans le sud ! Si je m’octroie une pause ‘’soin’’, j’appelle Justine, une jeune femme qui intervient à domicile : elle a lancé sa petite entreprise récemment et j’espère qu’elle aura beaucoup de succès, car elle le mérite. Visitez sa page Facebook Elégance Beauté Justine pour en savoir plus. J’ai aussi trouvé mon bonheur à L’Atelier du Sourcil (2 rue Philippe de Dangeau), qui propose une prestation de qualité. Enfin, je suis accro aux bougies parfumées de chez Durance (26 rue de la Paroisse), en particulier celle à la fleur d’oranger, et leur poudre pailletée pour le corps est aussi une merveille.

Quels sont les fournisseurs attitrés de votre cuisine ?

Je vais toujours chercher mon poisson chez T’Kint (Halles Notre Dame, Carré à la Farine) : une entreprise familiale comme je les affectionne, des gens vraiment sympathiques (mention spéciale à Alexandra), chez qui nous nous approvisionnons aussi pour la boulangerie. Leurs plateaux de fruits de mer sont juste exquis ! Autre fournisseur à titre tant privé que professionnel, la maison Capocci (Halles Notre Dame, Carré à la Viande) pour ses fruits et légumes. Miam leurs fraises, que l’on retrouve dans tous les desserts Bigot…Pour la viande, une seule adresse : Huet (36 rue du Maréchal Foch). J’y aime tout particulièrement leur rosbif, leur foie de veau, et le poulet rôti du dimanche midi, bienvenu quand on arrive chez soi à 14h après une intense matinée de travail ! Enfin, je fréquente régulièrement les rayons de Naturalia (88-90 rue de la Paroisse) pour leurs légumes et céréales bio. Petite infidélité à Versailles, je me rends de temps en temps à la Ferme de Gally (Route de Bailly à Saint-Cyr-l'Ecole), notamment le mercredi en famille : on y achète la nourriture pour les animaux, mais aussi des fruits, des légumes, de la volaille et plein d’autres choses… Il nous arrive aussi d’y rester déjeuner, et mes filles participent parfois à des ateliers sur place.

Vos restaurants favoris à Versailles ?

Quand on a envie de se faire plaisir sans sortir de chez nous, notre réflexe est d’appeler Les Restos de Charly (tél 01 39 02 77 37) : ce service livre à domicile les menus de nombreux restaurants versaillais. Parmi nos endroits préférés pour dîner, citons le Shandrani (12 rue Saint-Simon) pour ses spécialités indiennes, les douceurs italiennes du Passaggio (5 passage Saint-Pierre) et du Little Italy (passage de la Geôle, avec une terrasse idéale en été). Nous aimons bien aussi aller nous mettre ‘’au vert’’ du côté des Etangs de Corot, au restaurant le Café des Artistes (55 rue de Versailles à Ville d’Avray). L’idéal : faire une vraie pause en dormant sur place, dans le très bel hôtel, dépaysement garanti et sérénité à dix minutes de chez nous… si je pouvais, je le ferais souvent ! Récemment nous avons vécu une formidable expérience au Trianon Palace (1 boulevard de la Reine), à la ‘’table du chef’’ : on réserve pour 6 à 8 personnes et on mange avec vue sur le spectacle des cuisines, en compagnie du chef Simone Zanoni qui fait partager sa passion aux convives. Ah, le risotto dans la meule de parmesan, c’était sublime !

Quels sont vos loisirs à Versailles ?

Nous sommes des adeptes du vélo et du roller dans le parc. L’une de mes filles pratique la gymnastique acrobatique au gymnase Rameau (3 bis rue Champ Lagarde). Nous aimons aussi beaucoup la piscine Montbauron (7 rue Léon Gatin), surtout en été. Nous allons enfin régulièrement au Théâtre Montansier (13 rue des Réservoirs), où nous avons récemment assisté à une version moderne de Carmen, avec les enfants, c’était vraiment bien. Prochainement, j’ai la ferme intention d’aller voir le spectacle d’Olivia Moore, à la Royale Factory (2 rue Jean Houdon), ça a l’air très drôle ! Enfin, j’ai eu la chance de participer en juin dernier au Grand Bal dans les jardins du château, et je compte bien renouveler l’expérience, c’était grandiose, j’ai dansé toute la nuit dans mon costume de marquise, loué chez Frip-Follies (2 et 8 boulevard du Roi).

Retrouvez Johanna et toute l’équipe Bigot autour des nouveautés de Noël : chocolats mojito, bergamote, caramel au beurre salé…

Maison Bigot 69 rue du Maréchal Foch à Versailles

Téléphone 01 39 49 03 10

http://www.boulangeriepatisseriebigot.com/


Versailles in my pocket vous souhaite une belle année 2014

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carte de voeux 2014 versaillesinmypocket-copie-1

Bientôt 2 ans d’existence,
déjà 110 billets publiés,
plus de 60 000 visiteurs,
près de 120 000 pages vues,

3 222 fans sur Facebook,
&
334 abonnés sur Twitter.
 

Versailles in my pocket a pris en 2013 sa vitesse de croisière !

Merci à vous chers lecteurs : votre fidélité et vos messages bienveillants
me donnent vraiment envie de continuer cette aventure,
à laquelle j’aimerais pouvoir consacrer plus de temps…

N’hésitez pas à me faire part de vos suggestions
par mail ou via la page Facebook.

Bravo à l’illustratrice Aurélie Foin pour cette superbe carte de vœux.

 

Bonne année à tous !

Sporty Kids & Co : une sélection sportswear mode pour enfants

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Sporty Kids & Co : une sélection sportswear mode pour enfantsSporty Kids & Co : une sélection sportswear mode pour enfantsSporty Kids & Co : une sélection sportswear mode pour enfantsSporty Kids & Co : une sélection sportswear mode pour enfantsSporty Kids & Co : une sélection sportswear mode pour enfantsSporty Kids & Co : une sélection sportswear mode pour enfants

Une paire de baskets junior peut être à la fois jolie, mode et abordable : c’est pour en apporter la preuve aux parents versaillais que Cécile Gozlan a tout récemment ouvert sa boutique, Sporty Kids & Co, tout près de la place Hoche.

Qu’elles soient scolaires ou extrascolaires, les activités sportives font de plus en plus partie du quotidien des enfants. « Chaque semaine, il y a au moins trois journées où l’instituteur demande à ce que mon fils soit en tenue de sport… Il faut en outre des baskets pour l’extérieur, mais aussi une paire pour l’intérieur » explique Cécile Gozlan, créatrice de la boutique Sporty Kids & Co. Pour changer un peu de l’ordinaire que l’on trouve dans les ‘’supermarchés’’ du sport, la jeune maman se met en quête d’offres alternatives, sans grand succès. « Les grands marques de sport ont pourtant une offre très chouette pour les enfants, mais elle reste trop peu distribuée. D’où mon idée de la proposer aux petits Versaillais dans le cadre d’une boutique dédiée » ajoute-t-elle.

Les Versaillais adeptes du commerce de proximité
Ex-responsable RH dans un cabinet de conseil en stratégie, poste qu’elle a occupé pendant une quinzaine d’années, Cécile Gozlan se lance donc fin 2012 dans l’aventure de la création d’entreprise. Démarches à la CCI de Versailles, auprès des banques, recherche d’un local, elle trouve finalement une boutique au 17 de la rue Carnot, bâtit son business plan, sélectionne son assortiment et ouvre Sporty Kids & Co à la rentrée 2013. « J’ai été heureuse de la réaction des clients : beaucoup se sont dits ravis d’avoir ce type d’offre tout près de chez eux, sans avoir à se déplacer dans un centre commercial. Je sens que les gens ont une vraie envie de voir se maintenir un commerce de proximité » précise-t-elle.

Des baskets enfant à partir de 28€
En magasin, on trouve des baskets Adidas, Reebok, Puma et Lacoste, à partir de la taille 16 et jusqu’au 39. «Le premier prix d’une paire de Reebok est à 28€, ce qui a étonné de nombreux clients. Il faut savoir que les gammes enfants sont environ 20% moins chères que les gammes adultes. Du coup, certaines mamans trouvent aussi leur bonheur à la boutique ! » indique en souriant Cécile. Côté vêtements, les mêmes marques sont proposées (sauf Reebok), avec des coffrets naissance comprenant un petit pyjama et des accessoires. Pour une tenue de sport bébé, compter à partir de 36€ et environ 70€ pour les plus grands.

Sporty Kids & Co
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h
+ le dimanche matin de 10h à 12h30
17, rue Carnot à Versailles
Tél : 01 39 43 99 91
http://sportykidsandco.fr/et sur Facebook

Photos © Versailles in my pocket

L’Atelier du faire-part : laissez parler les p’tits papiers !

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L’Atelier du faire-part : laissez parler les p’tits papiers !L’Atelier du faire-part : laissez parler les p’tits papiers !L’Atelier du faire-part : laissez parler les p’tits papiers !L’Atelier du faire-part : laissez parler les p’tits papiers !L’Atelier du faire-part : laissez parler les p’tits papiers !L’Atelier du faire-part : laissez parler les p’tits papiers !

La famille vient de s’agrandir, les grands-parents fêtent leurs noces d’argent, vous vous mariez cet été ? Quel que soit l’événement, le faire-part est un des premiers casse-tête à résoudre. ​En entrant dans l’Atelier, Stéphanie Besançon vous met tout de suite en confiance. Une lumière douce éclaire les murs où est exposée une sélection de ses créations. On regarde, on commence à prendre ses marques. « La première phase est un moment d’écoute : le clients me disent ce dont ils ont envie. C’est parfois très précis, parfois non. Ils ont beaucoup d’idées…ou pas du tout. A moi de m’adapter, de cerner leur attente, d’être force de proposition. Puis nous regardons ensemble les typographies et les différents papiers entre lesquels ils ont le choix » indique-t-elle.

Un style épuré, simple et élégant
Architecte de formation, Stéphanie a commencé par exercer ce métier avant de s’adonner pleinement à ce qui, d’un loisir, est devenu une activité à part entière il y a maintenant treize ans. Depuis, son Atelier situé sur le flanc droit de l’Eglise Notre-Dame a su devenir un incontournable pour de nombreux Versaillais. Son style ? Quelle que soit la demande, il reste très épuré, simple et élégant. La créatrice sait aussi se faire illustratrice si besoin, avec un coup de crayon aérien qui se prête à merveille à l’exercice. Une fois la maquette arrêtée, les cartes sont ensuite imprimées et découpées au sein même de l’atelier. Pour un mariage, compter un délai d’environ 25 jours entre le premier rendez-vous et la livraison, avec un coût à partir de 1,85€ l’unité*. Pour une naissance, une dizaine de jours suffisent, à partir de 1,20€ l’unité*. Et si vous n’avez pas besoin d’une grande quantité, Stéphanie prend des commandes à partir de 20 exemplaires.

*faire-part + enveloppe, pour 100 exemplaires

L'atelier du faire-part
Mardi / Samedi : 10h-13h 14h30-18h
37, rue de la Paroisse à Versailles
Tél : 01 39 49 06 02
www.atelierdufairepart.fr

Photos © Versailles in my pocket

Avec « Les Glorieux de Versailles », Jean-Michel Riou boucle sa trilogie du Grand Siècle

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Avec « Les Glorieux de Versailles », Jean-Michel Riou boucle sa trilogie du Grand Siècle

Après « Un jour je serai roi » et « Le Roi noir de Versailles », les amateurs retrouveront avec plaisir le clan Pontgallet dans ce 3ème tome dont l’action se situe entre 1679 et 1682 à Versailles, juste avant l’installation de la Cour au château.

1679. Le traditionnel bal du 1er mai se prépare sur la Place d’Armes à Versailles. Les ouvriers bâtisseurs et les jeunes filles de la ville l’attendent chaque année avec impatience : il faut dire que la vie est dure dans la future capitale du Roi Soleil. Le chantier n’en finit pas et nombre de personnes y trouvent la mort chaque année, l’eau manque aux fontaines, les peintures de la Galerie des Glaces sont en train d’épuiser Le Brun mais Louis XIV n’en a cure. Il l’a décidé : la Cour s’installera à Versailles en 1682, quoi qu’il advienne : le palais doit donc être prêt. Le très ambitieux Jules Hardouin-Mansart, désormais aux commandes, s’en fait un défi personnel.

Avec le nouvel architecte du roi, justement, Marguerite Pontgallet n’a pas su garder sa langue dans sa poche. Au lieu de flatter l'ego d'Hardouin-Mansart, la patronne du clan de maçons n’a pas mâché ses mots et, petit à petit, l’entreprise a perdu tous ses chantiers. Amandine caresse toujours ses rêves de princesse, Jean veut devenir peintre et Anne, sans son Léon, tombe sous l’emprise d’un cuistre malfaisant. Et le Roi Noir dans tout ça ? Repose-t-il vraiment au fond de l’Etang Puant, sur le site de la future pièce d’eau des Suisses ?

La 3ème (et dernier, a priori) tome de la série de Jean-Michel Riou, après « Un jour je serai roi » et « Le Roi noir de Versailles » nous permet de retrouver cette galerie de personnages attachants. Moins sombre que les deux précédents opus, du château aux mines d’argents mexicaines, il nous entraîne dans une virevoltante balade au Grand Siècle.

Les Glorieux de Versailles
de Jean-Michel Riou
Editions Flammarion
Prix éditeur 22,90€

Pierre-Antoine Demachy, témoin méconnu au Musée Lambinet

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Pierre-Antoine Demachy, témoin méconnu au Musée LambinetPierre-Antoine Demachy, témoin méconnu au Musée LambinetPierre-Antoine Demachy, témoin méconnu au Musée LambinetPierre-Antoine Demachy, témoin méconnu au Musée LambinetPierre-Antoine Demachy, témoin méconnu au Musée Lambinet

Grâce à l’exposition que consacre le Musée Lambinet au peintre Pierre-Antoine Demachy, le visiteur se téléporte dans un XVIIIème siècle mâtiné d’Antiquité. A la fois chroniqueur et peintre urbaniste, l’artiste raconte son Paris, et même son Versailles, au fil d’un voyage vivant et pittoresque.

La ville de Versailles honore cette année le peintre Pierre-Antoine Demachy (1723-1807), en présentant sa première grande rétrospective au Musée Lambinet, du 15 février au 18 mai 2014. « Demachy fut un témoin privilégié du temps des Lumières » explique François de Mazières, député-maire de Versailles, avant de poursuivre « Il assista aux métamorphoses urbaines qui caractérisèrent la France de cette époque et les représenta au travers d’architectures rêvées, issues des mythes de l’Antiquité mais aussi de son imagination, de sa vision d’une ville idéale. Il sut, grâce à sa très grande maîtrise des techniques picturales, composer des tableaux qui nous plongent dans la contemplation de villes sublimées, pétries à la fois des valeurs des Lumières et des idéaux romantiques. (…) Il est l’un des premiers à avoir représenté une ville futuriste, préfigurant ce que nous appellerions aujourd’hui urbanisme ».

Une dimension de témoignage

L’exposition du Musée Lambinet présente une cinquantaine de peintures, souvent issues de collections prestigieuses, suivant un cheminement thématique qui permet de découvrir la richesse des centres d'intérêt de l'artiste. Ni génie, ni mauvais peintre, Demachy a laissé une œuvre qui, indépendamment de sa valeur artistique, existe aussi par sa dimension de témoignage et porte un regard original sur la ville au XVIIIème siècle. Car Demachy peint le cadre de vie de ses contemporains : démolitions, constructions, incendies. Il peint aussi la vie quotidienne : scènes de rue, à proximité du Louvre et sur les bords de Seine, mais aussi rassemblements dans des édifices religieux. On assiste ainsi à une session de catéchisme dans l’Eglise Saint-Louis de Versailles, à une vente aux enchères de tableaux, à l’incendie de la foire Saint-Germain, à un vol en ballon ou encore à une fête révolutionnaire. « Se pencher sur l’oeuvre de Demachy est une occasion et un moyen d’enrichir notre représentation de la peinture de l’époque. A l’aspect méconnu de l’artiste répondra, nous l’espérons, la bonne surprise d’une agréable découverte. Quant à son aspect de témoin, il pourrait bien fournir à notre imagination de fort plaisantes incursions dans sa ville » commente Françoise Roussel-Leriche, Conservateur du Musée Lambinet.

Bio éclair

Né à Paris le 17 septembre 1723, Pierre-Antoine Demachy s'illustre d’abord dans la réalisation de décors scéniques, pour le théâtre au collège Louis le Grand, puis à l'Opéra avant d’être nommé, en 1764, peintre d'Architecture des décors de théâtre aux Menus Plaisirs du Roi et dessinateur du Cabinet du Roi. A partir de 1770, Demachy travaille à la décoration de nombreux hôtels parisiens, en utilisant avec brio le décor en trompe l'oeil, comme il l'avait fait pour le duc d'Orléans au décor du grand escalier du Palais Royal en 1768. Il réalisera par exemple des toiles figurant des décors d'architecture, placées au-dessus des cheminées du foyer de l'Opéra Royal à Versailles. Sous la Révolution, depuis son appartement du vieux Louvre, il participe aux travaux dits « d'encouragements » et répond au concours de l'An II avec des esquisses représentant le « Brûlement des titres féodaux et des attributs de la tyrannie », et « la célébration de la fête de l'Etre suprême ». Il meurt le 10 septembre 1807, âgé de 84 ans.

Musée Lambinet

54 boulevard de la Reine

78000 Versailles

Téléphone 01 39 50 30 32

Le musée est ouvert tous les jours de 14h00 à 18h00, sauf le vendredi

Tarif plein : 6€ / Tarif réduit : 4€ / Gratuit pour les moins de 18 ans + Dernier dimanche du mois, Moins de 18 ans individuels, Enseignants, Journalistes, Conférenciers, Demandeurs d’emploi, Chauffeurs et accompagnateurs de groupe, Handicapés, Amis du musée Lambinet, Carte ICOM et conservateurs, Amis du Louvre, Agents de la ville (conjoint et enfants) - Accès handicapés : le musée est partiellement accessible aux personnes à mobilité réduite.

Renseignements auprès de l’Office de Tourisme.

Livret-jeu - Mise à disposition gratuite d’un livret – jeu pour les enfants de 7-10 ans et de coloriages pour le jeune public.

Autour de l’exposition, de nombreuses activités sont proposées : visites adultes, visites en famille, visites pour les enfants, stages-ateliers pendant les vacances scolaires, visite en musique et cycle de conférences. Renseignements auprès du musée.

Catalogue - L’exposition Pierre-Antoine Demachy s’accompagne de la publication d’un catalogue intitulé « Le témoin méconnu ». Coédition Ville de Versailles Magellan et Cie. 200 pages - Format 20,50 x 25cm – Relié - Prix de vente : 28€

Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Caroline

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Après plusieurs années d’expatriation, en Inde et en Espagne, Caroline Carlicchi a choisi Versailles pour se fixer à son retour en France. En marge de son activité de coaching personnel et professionnel, qu’elle exerce depuis son bureau avenue de Saint-Cloud (voir encadré ci-dessous), Caroline prend également le temps d’apprécier sa ville d’adoption et nous livre ici ses bonnes adresses.

Pourquoi être venue vous installer à Versailles ?

Nous avions envie d’être à proximité de Paris mais sans sacrifier notre qualité de vie. A Versailles, il y a de l’espace et beaucoup de verdure. J’aime aussi beaucoup le côté « village » des quartiers, à Saint-Louis ou à Montreuil, où nous habitons aujourd’hui. Autour de mon bureau, avenue de Saint-Cloud, c’est un peu une ambiance de ville de province et cela me plait aussi. Enfin, tous les week-ends, nous faisons de longues balades dans le parc du château, c’est formidable d’avoir ça tout près de chez soi !

Où faites-vous vos courses de tous les jours ?

Chaque dimanche, c’est comme un rituel, je me rends au marché Notre-Dame. Passage obligé chez le marchand de légumes bio à l’extérieur, à l’angle du Carré à la Farine. Il y a du monde et il faut prendre son mal en patience, mais ça vaut le coup : tout y est bon, et sa démarche me plait, puisqu’on y trouve uniquement des produits de saison. J’achète aussi ma baguette dominicale chez Guinon (60 rue de la Paroisse), avec parfois une de leurs délicieuses tartes à la framboise. Pour mon épicerie bio et les compléments alimentaires, direction Naturalia (90 rue de la Paroisse) : le magasin est bien achalandé et les vendeurs sont de bon conseil.

Les autres jours de la semaine, j’ai mes habitudes rue de Montreuil, j’adore l’ambiance qui y règne et je suis très sensible à la qualité de la relation avec les commerçants du quartier. Pour la boulangerie, je vote Maison Avril (au n°6), des gens charmants qui vendent à mon avis le meilleur pain de la rue ; ma fille craque pour leur religieuse au chocolat…et leurs petits bonbons au détail. Pour les dépannages, je file au Petit Casino (au n°23), tenu par un couple très sympathique. S’il me manque des fruits et légumes, j’opte pour Montreuil Primeurs (au n°33) qui, au-delà de proposer de bons produits, est un véritable lieu de vie du quartier, où l’on croise plein de têtes. Même chose à la Crémerie de Montreuil (au n°29), une excellente fromagerie où chacun peut trouver son bonheur : pour moi il prend notamment la forme des Fontainebleau que le patron me prépare sur commande, avec même des petites framboises dessus… Je rentre aussi souvent chez Marie, Julie, Paul et les Autres (au n°14), une boutique où l’on trouve une sélection d’articles de la marque « Papa pique et maman coud » : barrettes, trousses, sacs, et même des déguisements. Autant vous dire que ma fille adore cet endroit. Et si je veux une jolie composition florale, je suis sûre de la trouver chez Harmonie (au n°8).

Quels sont vos loisirs à Versailles ?

Je lis beaucoup, alors j’aime les librairies ! La plus proche de chez moi est Le Livre Bleu (18 rue de Montreuil) : ils ont toujours des choses à me proposer, ils donnent leur avis sans langue de bois sur les livres, j’apprécie beaucoup cette honnêteté. Je fréquente aussi avec plaisir L’Heure des Mamans (9 rue de la Paroisse), notamment pour leur sélection de littérature enfantine. Au niveau professionnel, je dévore aussi les bouquins de développement personnel que je trouve chez Personnali’Thé, (29 rue du Vieux Versailles), une librairie qui fait aussi salon de thé et propose de nombreuses activités et conférences, notamment des séances de méditation. Enfin, je pratique le yoga traditionnel chez Holy’s Espace Yoga (31 avenue du Général Leclerc) et je vais souvent nager à la piscine Montbauron (7 rue Léon Gatin), où les installations ludiques pour enfants sont vraiment chouettes, à l’image du toboggan.

Côté beauté et shopping, quelles sont vos coups de coeur ?

Je suis une fan du dépôt-vente Charlotte, dans la Cour des Deux Portes : elle propose une sélection de très jolies pièces à tous les prix. Non seulement je déniche souvent des choses qui me plaisent, mais je suis une fervente adepte de la démarche de « seconde main ». L’idée que les objets peuvent avoir plusieurs vies me semble une évidence et j’ai développé ce réflexe. Pour mes cheveux enfin, je suis fidèle à Mods’Hair depuis des années, bien avant mon arrivée à Versailles. C’est donc tout naturellement que je fréquente le salon versaillais de cette enseigne (7 rue des Deux Portes), tenu par Stéphanie, dont j’apprécie le coup de ciseau et la discrétion.

Quels sont vos restaurants favoris à Versailles ?

Ayant habité rue du Vieux Versailles, j’ai gardé de bonnes adresses dans ce quartier. J’adore aller manger chez Esprit d’Atelier (au n°5) : le lieu, façon loft, a beaucoup de charme, la table est bonne et je garde toujours une place pour les savoureux desserts maison. Rue de Satory, j’aime beaucoup Chez Lazare (au n°18) pour leurs grillades et Via Veneto (au n°20) pour leurs pizzas. Place du marché, nous sommes toujours bien accueillis, même avec des enfants, à la Cantine des Grands (2 rue André Chénier). En famille, nous allons aussi régulièrement au Sister’s Café (15 rue des Réservoirs) où mon mari se régale des burgers. Pour mes rendez-vous professionnels, je choisis presque toujours L’Aparthé (1 rue Sainte-Geneviève) : la carte permet de satisfaire tous les palais et la qualité est constante. Aux beaux jours enfin, la terrasse du Little Italy (passage de la geôle) constitue un havre de paix au cœur du quartier des antiquaires.

Visitez le site de Caroline Carlicchi http://www.coaching-go.com/

et son blog http://blog-fr.coaching-go.com/

Du coaching en ateliers pour retrouver le chemin de l’emploi

Dans le cadre de son activité de coaching, Caroline Carlicchi propose un accompagnement professionnel personnalisé : une relation suivie dans une période définie, qui permet d’obtenir des résultats concrets et mesurables dans la vie professionnelle et personnelle. « Depuis quelques mois, je rencontre de plus en plus de personnes qui peinent à retrouver un emploi et sont épuisées, découragées. Dans ces cas précis, le coaching personnalisé donne d’excellents résultats mais tout le monde ne peut pas forcément se permettre cette dépense. D’où mon idée d’organiser ces ateliers : une façon de mutualiser le coût du coaching, tout en permettant aux personnes concernées de rencontrer d’autres demandeurs d’emploi et de se sentir moins seules dans leur combat contre le chômage » explique Caroline Carlicchi. Du 10 mars au 12 mai 2014, la coach propose donc une série d’ateliers thématiques de 90 minutes chacun, dont le programme complet est consultable ici. Outre les conseils qu’elle prodiguera aux participants, Caroline fera également intervenir des experts selon les sujets évoqués : un comédien pour la préparation de l’entretien d’embauche, une spécialiste des réseaux sociaux, etc.

Les ateliers ont lieu chez Coaching-Go, 26 avenue de Saint-Cloud, 78000 Versailles.

Tarif unique : 18€ TTC pour un atelier de 90 mn.

Pré-inscription auprès de Caroline Carlicchi sur contact@coaching-go.com ou par téléphone au 06 95 19 95 32

Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?

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Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?Versailles en mode « dépôt-vente » : et si on consommait différemment ?

Soyons lucides : nos placards, bien souvent, débordent d’affaires que l’on utilise très peu, tandis que notre budget vêtements a tendance à se réduire comme peau de chagrin. Alors, pourquoi ne pas faire tourner ces articles, les revendre afin de leur donner une nouvelle vie et, parallèlement, craquer à prix doux sur des pièces d’occasion impeccables, voire neuves ? A Versailles, c’est possible grâce à cinq dépôts-vente : suivez le guide !

Cinq dépôts-vente pour une ville comme Versailles, c’est finalement assez peu. Certes, de nombreux sites internet ont aujourd’hui capté une partie du marché de la revente entre particuliers, mais rien ne vaut tout de même le contact direct avec le produit, qui permet aussi d’avoir un coup de cœur sans forcément chercher quelque chose de précis. D’autant que chacune des boutiques possède son univers et ses spécificités, en fonction de la personnalité de leur propriétaire : un vrai plus qui permet notamment de savoir où chercher certaines marques ou certains styles de vêtements. Qu’il s’agisse de déposer la petite robe et les sandales qui dorment depuis deux saisons dans votre placard ou de chercher un joli trench, des ballerines ou un sac à main, voici un petit parcours découverte, qui commence par le quartier Saint-Louis et se termine à Grand Siècle. En voiture !

9 place Saint-Louis : une institution locale

Vous êtes ici dans le plus ancien dépôt-vente de la ville, situé face à la cathédrale Saint-Louis. Créé il y a 28 ans, il a été repris en 2006 par Laurence Lefebvre, ex-styliste et costumière. Sur les portants, une veste Iro croise une jupe Yves Saint-Laurent, une marinière Sandro jouxte une robe Diane Von Fürstenberg. Jolie sélection de chaussures de grande marque : bottines Roger Vivier, boots Freelance, escarpins Armani. Côté maroquinerie, Laurence est aussi très exigeante et traque la contrefaçon avec intransigeance : à vous les sacs Loewe, Chanel ou Furla, mais aussi une gamme neuve, de marque Naterra. « Ma clientèle va de 20 à 80 ans, il en faut donc pour tous les goûts. Je prends en dépôt des articles de marques luxe ou tendance, impeccables, sans fermer la porte à certaines pièces classiques Gérard Darel ou Max Mara, sous réserve qu’elles soient récentes » indique-t-elle.

De 10h30 à 18h30 du mardi au samedi

Dépôts sur rendez-vous, du mardi au vendredi de 10h30 à 17h30 et le samedi matin

9 place Saint-Louis à Versailles (face à la cathédrale) - Téléphone 01 39 51 75 71

Site internet http://www.9placesaintlouis.com/

Charlotte, dépôt-vente créateurs : le plus branché

Depuis mars 2012, le dépôt-vente de Charlotte d’Hennezel accueille fashionistas passionnées et chineuses occasionnelles, au creux d’une charmante petite cour du quartier Notre-Dame. En rayon, de très jolies choses, de style plutôt tendance, récent et en parfait état. « C’est la pièce qui m’importe, pas la marque. Il y a ici aussi bien du Sonia Rykiel ou du Zadig & Voltaire que du Zara » précise-t-elle. Dans son adorable boutique, on découvre ainsi une sélection d’environ un millier d’articles, vêtements et accessoires : ballerines Marc Jacobs, sandales Repetto, robe Paul & Joe, jupe Comptoir des Cotonniers, trench Maje ou sac Vanessa Bruno. Outre les articles de seconde main, le dépôt-vente propose aussi une sélection d’étoles et de bijoux neufs, dont ceux de la créatrice versaillaise Marie-moi.

De 11h à 19h du mardi au samedi

Dépôts du mardi au vendredi de 11h à 13h (sans rendez-vous)

7-9 Cour des Deux Portes à Versailles (dans le passage des Deux Portes) - Téléphone 01 39 43 34 92

Lire aussi l’article que j’ai déjà consacré à Charlotte

Site internet http://www.charlotteversailles.com/

Page Facebook

Crist’Al 24 : une sélection très pointue

A deux pas du Cyrano et du quartier de la Geôle, ne manquez pas cette petite boutique qui regorge de trésors. « Nous disposons de très peu d’espace, je suis donc obligée d’avoir des partis pris en matière de sélection ! » commente en souriant Christine Pluvinage. Si vous cherchez une cravatte Hermès pour Monsieur, un sac Louis Vuitton ou Mulberry, une robe Christian Dior ou Burberry, des escarpins Prada, des bijoux fantaisie Chanel ou Baccarat, vous êtes à la bonne adresse. Vous trouverez aussi de nombreuses pièces Max Mara, Paule Ka ou Gérard Darel. Christine aime aussi jouer les têtes chercheuses et propose des articles neufs souvent inédits ou très peu diffusés, comme ces sacs de la marque italienne V73, mais aussi des étoles Inouï ou encore la gamme de bougies d’Elisabeth de Feydeau. Et beaucoup d’autres choses, à découvrir en magasin.

De 10h30 à 19h du mardi au samedi

Dépôts sur rendez-vous

24 rue Baillet-Reviron à Versailles (à proximité du Cyrano) - Téléphone 01 39 53 50 46

Site internet http://www.cristal24.com/Accueil.html

Page Facebook

La Friponnerie : le plus éclectique

Quittons Versailles pour le Chesnay, où ce dépôt-vente existe depuis 1969. Repris en 1988 par Michèle Weber, qui en est toujours aux commandes, il fait le bonheur des dames du quartier qui ont l’habitude d’y passer, à la recherche de la bonne trouvaille. « J’accepte les articles récents, de marque, en bon état, de style assez diversifié » explique la patronne. L’éclectisme est donc de mise : Massimo Duti côtoie Chacock, Cop.Copine, Comptoir des Cotonniers, Apostrophe ou Manoukian. Dans le petit rayon hommes, on trouve un beau trench Burberry, quelques costumes et de nombreuses chemises impeccables, ainsi que des cravates Hermès. Au fond du magasin, un portant indique « jusqu’à la taille 46 et+ ». Près de la caisse, des sacs à main Lancel, Guess ou Le Tanneur et, de chaque côté de l’entrée, un vaste choix de chaussures. Un dépôt-vente tout public où il fait bon farfouiller.

De 10h00 à 19h du mardi au samedi

Dépôt de 10h à 14h sur rendez-vous (jusqu’à fin avril pour les articles printemps/été)

29 rue du Colonel de Bange - 78150 Le Chesnay

Téléphone 01 39 54 74 96

Site internet http://www.lafriponnerie.fr/

Page Facebook

La fée et le lutin : exclusivement pour les petits

Depuis fin 2012, ce dépôt-vente situé au bout de l’esplanade Grand Siècle propose des vêtements d’occasion pour bébés et enfants (de 0 à 8 ans), ainsi que des jouets et de nombreux articles de puériculture. La boutique est tenue par Astrid Siry, qui a auparavant officié chez Auber et exercé en tant qu’assistante maternelle : autant dire qu’elle sait de quoi elle parle. « Je suis sélective et exigeante quant à l’état du vêtement. Sinon j’ai en rayon des marques très variées, de Cyrillus à Burberry en passant par Du Pareil au Même, Tartine et Chocolat ou Christian Lacroix » indique-t-elle. A côté des habits, on trouve des articles de puériculture : couffin Natalys, parc Combelle, poussettes de marque, mais aussi des livres et des jouets. A quoi s’ajoute une sélection de produits neufs : vêtements de chez Kanz, mais aussi des valeurs sûres en matière de jeux (marchande, garage, dinette, objets en bois). Sans oublier les mamans, avec de très jolis colliers brésiliens Bola, dont le pendentif contient un grelot réputé apaisant pour bébé.

De 10h à 13h et de 15h à 19h, du mardi au samedi

Dépôts sur rendez-vous à l’heure du déjeuner entre 13h et 15h

22 esplanade Grand Siècle à Versailles (accès par la rue de l’Ecole des Postes) - Téléphone 01 39 49 48 64

Lire aussi l’article que j’ai déjà consacré à la Fée et le Lutin

Site internet http://www.la-fee-et-le-lutin.fr/

Page Facebook

Dernière minute : on m’indique qu’un autre dépôt-vente, baptisé Top Secret, a récemment ouvert au Chesnay, face au restaurant La Pampa (place Laboulaye). A découvrir, j’irai dès que possible !

Et si vous cherchez un déguisement ou une tenue de soirée,

il existe une adresse incontournable : Frip’Follies, 2 boulevard du Roi à Versailles. http://www.frip-follies.com/


La Cour : pause douceur au cœur de Versailles

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La Cour : pause douceur au cœur de VersaillesLa Cour : pause douceur au cœur de VersaillesLa Cour : pause douceur au cœur de VersaillesLa Cour : pause douceur au cœur de VersaillesLa Cour : pause douceur au cœur de VersaillesLa Cour : pause douceur au cœur de VersaillesLa Cour : pause douceur au cœur de Versailles

Depuis février dernier, le charmant petit restaurant La Cour a changé de mains : aux fourneaux et en salle, un couple de passionnés vous reçoit « comme à la maison ». Produits du marché voisin, cuisine simple et savoureuse, accueil chaleureux : en terrasse ou à l’intérieur, il fait bon venir ici se poser pour déjeuner ou prendre un thé. Avec chaque dimanche un brunch très convivial qui commence à être très couru.

Faites donc une parenthèse au cœur de la Cour des Deux Portes. Sylvie Rich et Ronan Marchix viennent d’y reprendre le restaurant La Cour où il est bien agréable de venir se faire dorloter. L’accueil, c’est leur truc : si aucun des deux n’a de formation hôtelière, ils partagent une réelle envie de faire plaisir et d’offrir à leurs clients un moment de détente et de gourmandise simple, sans chichi, comme « entre amis ». « J’étais assistante commerciale et Ronan responsable du développement durable…mais ça, c’était avant ! Nous avions tous les deux le désir de changer, de vivre autre chose. En tombant, par hasard, sur une annonce pour ce local, notre décision a vite été prise. La taille du restaurant était idéale pour nous qui débutions dans la restauration, et l’endroit correspondait au style de lieu que nous souhaitions créer, à savoir un endroit chaleureux où l’on vient partager un bon moment » raconte Sylvie. Cet automne, ils signent le bail, enchaînent sur quelques formations pour apprendre à s’organiser en cuisine, peaufinent leur décoration et finalement inaugurent l’espace le 1er février dernier.

Sylvie et Ronan ont toujours aimé cuisiner et recevoir. « Bien sûr, le faire chez soi pour ses proches est très différent de le faire pour des clients, d’où les stages que nous avons suivi cet hiver. Mais quand on aime ça, le métier rentre vite ! » ajoute Ronan. Tous les matins, l’un ou l’autre se rend aux Halles Notre-Dame pour acheter les produits du jour : fruits et légumes, crèmerie, viande, tout vient de Versailles. La carte est volontairement courte, à l’ardoise, et change chaque midi en fonction du marché : elle comporte généralement deux entrées et deux plats (veloutés, tartes salées, salades, suggestions du jour) et un délicieux éventail de desserts (cake à l’orange, tarte au citron, cheesecake, crumble…). Pour faire juste une pause douceur, venez déguster un jus d’oranges frais, un chocolat chaud à l’ancienne ou bien l’un des 26 thés Kusmi que Sylvie vous propose de choisir « au nez » grâce à des petits flacons test. Le dimanche, formule unique « brunch » et réservation conseillée, car de nombreux Versaillais ont déjà pris leurs habitudes en ces lieux, au retour du marché. Enfin, La Cour se prête à la privatisation (sous réserve de la date et du jour souhaités) : dîner entre amis, anniversaire, fête de famille, Sylvie et Ronan étudient toute demande.

La Cour
7-9 rue des Deux-Portes (dans la cour)
Téléphone 01 39 02 33 09
Du mardi au samedi de 11h à 18h (voire plus tard aux beaux jours…)
Le midi, formule Entrée/Plat ou Plat/Dessert à 14€ (16,90€ avec un verre de vin)
Plat seul à partir de 11€. Verre de vin à partir
de 3,90€
Le dimanche, brunch (formule unique) de 10h à 15h / 20€ adultes – 15€ enfants (moins de 12 ans)
La page Facebook
Le site internet http://www.versailles-lacour.fr/

Villa de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vue

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Villa de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vueVilla de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vueVilla de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vueVilla de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vueVilla de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vueVilla de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vueVilla de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vueVilla de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vueVilla de la Pièce d’Eau des Suisses : chambre avec vue

Depuis quatre ans, Laure de Saint-Chaffray accueille dans sa chambre d’hôte des voyageurs à la recherche d’un hébergement différent. Avec une vue imprenable sur la pièce d’eau des Suisses et sur l’Orangerie, sa maison offre un cadre de séjour réellement à part, au cœur de la vie d’une famille où chacun s’attache à rendre le séjour le plus agréable possible au visiteur.

La chambre est magnifique : 35 m² au deuxième étage, avec une salle de bain privative et une double exposition. D’un côté la rue Hardy et les toits de la cathédrale Saint-Louis, de l’autre la pièce d’eau des Suisses et l’Orangerie du château. Colorée, cosy, cocon : l’atmosphère du lieu invite à se poser, avec un bouquin, pour profiter de la quiétude ambiante. En sortant, à pied, l’entrée du parc et le Palais des Congrès sont à quelques minutes seulement, et pourtant on se sent totalement « au vert », comme si on était à la campagne. Aux beaux jours, on peut descendre se prélasser dans le jardin ou y prendre un pique-nique, avec pour seul bruit de fond le chant des oiseaux.

Des hôtes de tous horizons

Laure de Saint-Chaffray vous reçoit avec le sourire. « Avec mon mari, nous avons longtemps rêvé de nous installer à l’étranger. Cela ne s’est jamais concrétisé, alors aujourd’hui, nous faisons venir les étrangers chez nous ! » plaisante-t-elle, avant de poursuivre « nous adorons rencontrer des personnes venant d’autres horizons, échanger, s’étonner, s’enrichir de tous ces contacts. Nos enfants se sont également pris au jeu et exercent à la fois leur anglais et leur sens du service avec nos hôtes. C’est une expérience extraordinaire pour nous tous ». Arrivés à Versailles il y a une dizaine d’années, les Saint-Chaffray ont d’abord habité rue de la Paroisse avant de trouver cette magnifique maison, juste derrière le Potager du Roi. L’idée d’ouvrir une chambre d’hôte leur est venue en 2009, et depuis, leur carnet de réservation ne désemplit guère. Touristes « longue durée », congressistes fidèles d’année en année, Parisiens en goguette pour unweek-end à Versailles (souvent offert par leurs proches), spectateurs des fêtes de nuit, il est rare que la chambre soit vacante. « Nous avons des souvenirs inestimables, comme celui de ce Japonais fort érudit et curieux de tout, qui voulait tout savoir sur notre culture, jusqu’aux usages de nos différents types de verre à pied... Ou encore ce Parisien de 96 ans, une personnalité tout à fait passionnante, qui était si heureux de son séjour qu’il nous a fait la surprise de nous inviter à dîner au Trianon Palace… Des anecdotes, nous en avons des centaines ! » raconte Laure.

L’accueil, une véritable affaire de famille

Attention, si vous comptez rester dans votre coin, la formule n’est pas pour vous ! « Ici, les hôtes vivent avec la famille. Le matin, nous proposons un petit déjeuner à la française dans notre salle à manger ou dans le jardin en été : mon mari Hugo cuit du pain chaque soir, mon fils Léon fait des yaourts et mes filles Louise et Blanche des gâteaux, quant à moi je mijote des confitures avec des fruits du Potager du Roi, les tomates vertes en particulier. Les enfants sont aux petits soins pour fournir des renseignements à nos hôtes, Léon bricole même des plans pour leur expliquer, par exemple, où se situent les restaurants à proximité… L’accueil chez nous, c’est une véritable affaire de famille ! » Laure ne fait pas table d’hôte en dehors du petit-déjeuner, mais peut préparer des pique-nique sur commande. Alors, pour un séjour vraiment authentique dans la cité royale, n’hésitez pas à poser votre valise ici.

Chambre pour deux personnes, 35 m² - lit « King Size » divisible en deux lits individuels.
Canapé dans la même pièce pouvant faire lit d’appoint pour un enfant de moins de 12 ans.
Lit bébé sur demande.
Possibilité d’adjoindre la chambre voisine (celle de Léon) pour personnes supplémentaires.
Salle de douche à usage privatif, avec deux vasques et des toilettes.
Tarif 140€ la nuit pour 2 personnes, petit-déjeuner compris / 130€ pour une personne.
Parking privé fermé, sur réservation (15€ l
a journée)

Villa de la Pièce d’Eau des Suisses
6 rue de la Quintinie, 78000 Versailles
La page Facebook de la Villa, et son site internet
La Villa est également présentée sur le site de l’Office de Tourisme de Versailles
Pour réserver, contacter Laure de Saint-Chaffray
bedinversailles@gmail.com ou par téléphone 06 22 60 05 84

Ma balade 2014 à Esprit Jardin

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Deux jours pour se mettre au vert, sur le parvis de la cathédrale Saint-Louis, samedi 29 et dimanche 30 mars 2014. Il fait beau, il fait chaud, venez flâner parmi les fleurs !

Et pour toute information, rendez-vous sur http://www.esprit-jardin.fr/

     

A Esprit Jardin 2014 (24)

A Esprit Jardin 2014 (19)

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A Esprit Jardin 2014 (12)

 

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Photos © Versailles in my pocket

L’Heure des Mamans : trois ans déjà !

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L’Heure des Mamans : trois ans déjà !L’Heure des Mamans : trois ans déjà !L’Heure des Mamans : trois ans déjà !L’Heure des Mamans : trois ans déjà !L’Heure des Mamans : trois ans déjà !L’Heure des Mamans : trois ans déjà !L’Heure des Mamans : trois ans déjà !L’Heure des Mamans : trois ans déjà !

Le 21 mars 2011, Lucile Frassy ouvrait sa librairie L’Heure des Mamans, à Versailles. Trois bougies qu’elle souffle ce mois-ci en lançant une formule déjeuner et un nouveau site internet. Rencontre avec une jeune femme passionnée qui n’a décidément pas les deux pieds dans le même sabot.

Il y a trois ans, Versailles se réveillait un matin avec une toute nouvelle librairie, et même plus que ça. Car l’Heure des Mamans, c’est aussi un espace très chaleureux où il fait bon venir prendre un thé et une pâtisserie, mais également un endroit où les enfants trouvent leur bonheur, entre les différents ateliers proposés et le rayon exclusif qui leur est consacré, au fond du magasin. Depuis début mars, le salon de thé propose même une formule déjeuner, et le nouveau site internet tout juste mis en ligne vient compléter la corbeille d’anniversaire.

Un véritable lieu de partage

Dès l’ouverture, un public de fidèles s’est constitué autour du lieu. « J’ai vite senti que les gens étaient contents de notre arrivée. Certains clients, aussi passionnés que moi, sont devenus des amis. D’autres me témoignent leur gentillesse par des attentions adorables, toutes aussi touchantes les unes que les autres. Pour moi qui voulais ouvrir une librairie dans le but de partager mon amour de la littérature, toutes ces rencontres constituent un grand bonheur » commente Lucile. En trois ans, la jeune femme a affiné son offre. Au rayon jeunesse, on trouve aujourd’hui aussi bien des livres d’éveil pour tout-petits que les grandes sagas qu’affectionnent les adolescents, à côté d’une sélection de jouets : jeux de cartes, jeux de société et coffrets de loisirs créatifs de la marque Djeco (tampons, stickers, aquarelle, pâte à modeler, feutres…). Polars et livres en langue anglaise sont toujours au menu, tout comme les essais et les livres « pratiques » (maternité, famille, santé). Un nouveau rayon BD a fait son apparition récemment, tandis que la place consacrée aux romans (français et étrangers) ne cesse de croître, dynamisée par la newsletter que publie régulièrement Lucile sur son blog et où elle présente ses coups de cœur. Autre spécificité de la boutique, ses activités pour enfants. « L’éveil musical pour tout-petits (entre 8 mois et 3 ans) a un succès fou. Je n’ai plus aucune disponibilité d’ici la fin juin…mais je peux déjà annoncer que la formule sera reconduite à la rentrée, avec toujours la talentueuse Rhéa-Elsa Picard » précise Lucile. En septembre aussi, reprise prévue pour les Contes en musique, destinés aux 4/6 ans, animés par une professeure de musique bien connue à Versailles, Lucienne Lanet. D’autres projets sont à l’étude, autour des sciences notamment, mais pour l’heure Lucille ne peut en dire plus.

Gourmandise et littérature, un mariage d’amour

Sur la carte de l’Heure des Mamans, les pâtisseries de Rachel Moeller sont toujours à l’honneur, avec son désormais fameux cheesecake que l’on trouve aujourd'hui dans de nombreux restaurants parisiens, accompagné depuis peu par un carrot cake qui n’a, parait-il, rien à lui envier. Crumble, muffins et cupcake Oreo viennent compléter la liste des douceurs. Lucille propose toujours du café, du chocolat chaud, des jus de fruits et des smoothies bio de la marque Vitamont, mais aussi une large gamme de thés de la maison Dhénin ainsi que des infusions : « l’Attrape-cœur », le « Lemon Ginger », le « Grand Jasmin », le « Cœur Grenadine », tout un programme ! Depuis peu, chaque midi, il est également possible de déjeuner sur le pouce avec une formule également préparée par Rachel, à 10,90€ (entrée/plat ou plat/dessert). Au menu, la soupe de la semaine (aujourd’hui, c’était potiron/lait de coco, un délice) et la tarte (salée) de la semaine accompagnée d’une salade verte. Lucile a même reçu l’autorisation d’installer un store et une table sur la rue : aux beaux jours, il sera donc désormais possible de se poser « en terrasse » pour déguster ces petites merveilles.

L'heure des mamans

9 rue de la Paroisse à Versailles
Téléphone 01 30 21 96 14
Du mardi au samedi 10h-19h
Le dimanche 10h-13h / 15h-18h
http://lheuredesmamans.fr/

Pour la petite histoire, L'Heure des Mamans avait fait l'objet du tout premier billet de ce blog, en février 2012. Merci encore à Lucille pour cela !

Chez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux Versailles

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Chez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux VersaillesChez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux VersaillesChez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux VersaillesChez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux VersaillesChez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux VersaillesChez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux VersaillesChez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux VersaillesChez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux VersaillesChez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux VersaillesChez Stefs : une délicieuse escale au cœur du Vieux Versailles

Les Versaillais qui ont suivi l’aventure depuis novembre l’attendaient avec impatience, ça y est : le salon de thé/bar à vins Chez StefS a enfin ouvert ses portes, rue du Vieux Versailles. Aux fourneaux et en salle, Stéphanie Montjovet et Stéphane Marion ont à cœur de vous faire passer un délicieux moment, de 8h30 à 22h30 et quelle que soit votre envie du moment. Salé ou sucré, thé ou verre de vin, café ou chocolat, encas or not encas : à vous de voir !

Le décor a gardé quelque chose de l’Armoire de Camille, qui occupait ce lieu jusqu’à l’an dernier : tommettes au sol, esprit gustavien, ambiance chaleureuse. A gauche en entrant, un salon et son grand canapé vous tendent les bras et invitent à faire une pause, entre amis, hors du temps. Au fond de la salle, un espace en retrait avec une grande table d’hôte peut accueillir des groupes et des réunions professionnelles. Le comptoir est une promesse à lui seul : gâteaux sous cloche, fromages et charcuteries vous font de l’œil. Si l’on ajoute que tout est aussi bon à déguster que joli à regarder, il ne vous reste plus qu’à venir par vous-même vous faire une idée.

Un parcours garant d’une certaine exigence

Il faut dire que ce couple de gourmets a quelques antécédents, et pas des moindres… Né à Versailles, Stéphane a commencé par fréquenter l’école hôtelière avant d’être embauché par Gérard Vié à l’Hôtel de Grammont, puis au Trianon Palace. Le jeune chef s’est ensuite illustré auprès de Patrick Pignol, au Country Club et enfin chez Hélène Darroze. C’est en travaillant avec cette dernière qu’il rencontre Stéphanie, devenue responsable commerciale du restaurant après des études à Sciences Po et de nombreux stages chez les plus grands, comme Alain Ducasse. Depuis quelques mois, le couple peaufinait son projet d’ouvrir, à Versailles, un lieu comme il n’en existait pas encore dans la cité royale : à la fois salon de thé, restaurant, bar à vins et épicerie fine, un endroit élégant et chaleureux où il fait bon venir se poser à toute heure de la journée.

Une carte qui comporte déjà des classiques

La formule de Chez StefS, ses créateurs l’ont voulue simplissime, avec deux priorités : la qualité et le plaisir gustatif. Ici, la carte est volontairement très courte. Il y a d’abord l’assortiment permanent, les futurs « classiques » du lieu : pâtisseries maison (brookie, pain d’épice à la confiture d’orange, fondant au chocolat au beurre salé…), charcuterie de chez Pierre Oteiza (entre autres), fromages soigneusement sélectionnés... Il y a ensuite, chaque midi, une ardoise qui change en fonction de l’humeur du chef et du marché. Avec toujours la « cassolette du jour » (aujourd’hui c’était un filet de saumon rôti aux épices, hier un fondant de volaille jaune des Landes avec légumes niçois), le « croque du jour » (jambon, champignons et beaufort, ce midi, dans l’assiette de mon voisin) et « suggestion du jour », comme ce foie gras de canard maison au porto. Mais on peut aussi venir prendre tout simplement un café, un moccaccino caramel, un thé, un chocolat chaud recette maison (à base de Valrhona) ou un cocktail santé (jus de fruits et légumes frais agrémenté de yaourt et de miel). Qu’il soit l’heure du petit-déjeuner ou de l’apéritif, des tartines de confiture aux tartines du sud-ouest en passant par le brunch du dimanche, les Stefs ont toujours une gourmandise à faire découvrir. Côté cave, ils proposent une sélection de vins au verre. Et pour les fins connaisseurs, si vous trouvez le nom du « vin mystère », la bouteille vous est offerte ! A noter, dès le 15 mai, le début d’un cycle de « soirées vignerons » : cinq plats, cinq vins, avec pour premier invité le Domaine Gayda (Aude).

Chez StefS – 12 rue du Vieux Versailles à Versailles.

Ouvert du mardi au samedi de 08h30 à 22h30 et le dimanche de 11h00 à 15h00

Téléphone 01 30 24 80 75

http://www.chez-stefs.com

La page Facebook et mon précédent article sur le projet

Quelques idées de prix…

Midi : le croque du jour 7,50€

la cassolette du jour 8,50

le dessert du jour 5,50€

Assortiment de charcuterie et de fromages 10€.

Café gourmand 6,50€.

Vin au verre à partir de 5€ et coupe de champagne à partir de 10€.

Café à partir de 2,50€

Thés à partir de 4,50€ (maison Georges Cannon).

Pâtisserie du comptoir 5,50€

Formule petit-déjeuner 9,50€

Cheese Bar ou Cheese Club : deux nouvelles adresses en une

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Cheese Bar ou Cheese Club : deux nouvelles adresses en uneCheese Bar ou Cheese Club : deux nouvelles adresses en uneCheese Bar ou Cheese Club : deux nouvelles adresses en uneCheese Bar ou Cheese Club : deux nouvelles adresses en uneCheese Bar ou Cheese Club : deux nouvelles adresses en uneCheese Bar ou Cheese Club : deux nouvelles adresses en uneCheese Bar ou Cheese Club : deux nouvelles adresses en une

Un bar et un restaurant, tous deux dédiés au fromage, accueillent les Versaillais depuis fin 2013 dans le charmant passage Saladin, qui relie la place du Marché à l’avenue de Saint-Cloud. Dans une ambiance d’inspiration industrielle très tendance, le Cheese Club et son voisin le Cheese Bar proposent des spécialités à base de fromages, bien entendu, mais aussi de grandes assiettes apéritives à partager autour d’un bon verre de vin ou d’un cocktail.

Les concepts originaux, Stéphane Faral s’y connaît. Avec Carole et Sébastien Renaud (respectivement son épouse et son beau-frère), ils régalent depuis près de vingt ans les Versaillais dans leurs restaurants, de l’Aparthé au Little Italy en passant par la Cantine des Grands, le Sister’s Café ou, plus récemment, l’Endroit thaï. « Le Cheese Bar/Cheese Club est notre nouvelle aventure commune. Depuis longtemps, l’idée d’ouvrir une fromagerie avec un coin dégustation/bar à vins me trottait dans la tête. Mais être fromager, c’est un métier à part entière et nous, nous sommes avant tout restaurateurs. Aussi avons-nous finalement décidé de créer un restaurant autour du fromage, avec l’ambition de nous démarquer radicalement de ce qui existe déjà » explique Stéphane.

Côté déco, on est donc loin de l’ambiance rustique ! Les créateurs du lieu ont fait appel à un architecte qui les accompagne depuis maintenant dix ans, Mathieu Lenorman. Celui-ci a imaginé un lieu qui s’inspire des codes industriels : carreaux métro blancs, métal gris et vert, verrière miroir, etc. Dans l’assiette, l’équipe propose des mariages surprenants : camembert rôti cœur à la cerise, millefeuille au cantal, burger au munster, tartare de bœuf à la mimolette, entrecôte au gorgonzola, pavé de saumon rôti au Sainte-Maure, yakitori de poulet au cantal et jambon fumé. Côté bar ensuite, on joue la carte des grandes assiettes charcuterie/fromages, servies avec des confitures délicieuses, idéales pour grignoter avec un verre de vin. « Une grande partie de nos produits sont en provenance directe de l’Aveyron, de Laguiole très exactement. Mais nous travaillons aussi avec la Maison Jacob, bien connue des Versaillais. Enfin, nos confitures (de vin, notamment) viennent de chez Beau et bon à la fois » ajoute Stéphane. Côté cave enfin, l’ardoise propose une sélection de crus français (Chinon, Saint-Nicolas de Bourgueil, Mercurey, Côtes-du-Rhône, Pessac-Léognan, Monbazillac…) ainsi que des cocktails, dont l’éponyme Cheese Club (à base de cassis, Cointreau et champagne).

Entre nous – Je n’ai pas encore eu l’occasion de goûter les spécialités au fromage du restaurant, mais j’ai testé (et approuvé) par deux fois le duo fromages/cochonnailles du bar, avec un petit verre de vin. A ma prochaine visite, je goûterai le mojito, dont on m’a dit le plus grand bien.

Le Cheese Club - 3 passage Saladin à Versailles – tél 01 39 51 95 82 / Tous les jours (12h/15h et 19h/23h). Entrées à partir de 6,50 € - Plats de 13 à 17€ - Desserts 6,50€ - Vins à partir de 4,50€ le verre.

Et juste à côté...
Le Cheese Bar - 3 passage Saladin à Versailles – tél 01 39 43 96 65 / Du jeudi au dimanche. Cocktails 10€ - Coupe de champagne à partir de 10€ (Nicolas Feuillatte). Planche de trois fromages du moment (10€) - Assiette de trois cochonnailles (10€) - Duo fromages/cochonnailles (20€). Vins à partir de 4,50€ le verre.

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Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Didier

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Versailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de DidierVersailles dans votre poche : le carnet d’adresses de Didier

Après avoir habité le quartier Saint-Louis, puis Voisins-le-Bretonneux et Buc, Didier Baichère et sa petite famille de trois enfants sont revenus se fixer à Versailles, à deux pas du marché Notre-Dame. DRH dans un groupe international, Didier s’investit aussi pleinement dans la vie de la cité, en tant que Conseiller Municipal élu sur la liste « Le progrès pour Versailles ». Entre deux tweets, cet habitué des réseaux sociaux nous a confié ses adresses favorites et ses coups de cœur.

Pourquoi avoir choisi de vous installer à Versailles ?

Mon épouse et moi avons habité avec bonheur le quartier Saint-Louis au début de notre vie commune. Quand les enfants sont nés, pour nous agrandir, nous sommes allés nous installer d’abord à Voisins-le-Bretonneux, puis à Buc, tout en conservant nos habitudes à Versailles. L’an dernier, les enfants devenant adolescents, nous avons finalement décidé de revenir nous y fixer, avec l’objectif principal de ne pas être tributaires de notre voiture : d’où le choix d’un quartier central et commerçant, où tout est à portée de main, à commencer par le fabuleux marché Notre-Dame. Je n’y vois que des avantages. Entre la verdure, le calme, le parc du château où nous faisons des balades à vélo en famille, la bonne desserte de transports en commun, l’offre très riche en commerces de proximité et le cinéma tout près de chez nous, nous sommes très bien installés ! La sociologie de ce quartier est en train d’évoluer, je rencontre souvent de jeunes couples qui ont quitté Paris pour trouver ici plus de verdure et de sérénité.

A propos de commerce de proximité, où faites-vous vos courses ?

Nous sommes des fidèles du marché. Pourquoi aller chercher plus loin quand on a juste à côté un poissonnier comme L’Espadon (Carré à la Marée, rue du Marché Neuf) ou un fromager comme Le Gall (Carré à la Marée, rue Neuve Notre-Dame) ? Pour les fruits et légumes, le marché encore, en essayant de privilégier des producteurs locaux et une agriculture raisonnée. Quand nous étions à Buc, nous faisions d’ailleurs activement partie de l’association « La Ruche qui dit oui », qui permet à des citadins de se réunir pour acheter en direct à des agriculteurs de leur région. En matière de pâtisserie, nous sommes assez exclusifs : c’est Daubos (Carré à la Marée, rue du marché Neuf ou 35 rue Royale) qui a notre préférence, et ce depuis l’époque où nous vivions quartier Saint-Louis (commandez un Saint Honoré, il est superbe). Ils proposent désormais également un pain délicieux (long ou boule), qui se déguste comme un gâteau. Mais nous aimons aussi faire nous-mêmes notre pâtisserie, et pour cela nous bénéficions des conseils précieux de L’Atelier Cuisine de Patricia (4 rue André Chénier), un endroit vraiment formidable pour petits et grands. Entre Patricia et mon épouse Ariane, qui est diététicienne-nutritionniste, le courant est si bien passé qu’elles proposent désormais chaque mois un atelier dédié à la cuisine légère et gourmande (session « DietGourmande »). Ariane dispense aussi ses conseils, au-delà de son cabinet, dans le cadre de l’Espace Santé Active (15 rue du Maréchal Foch), ouvert par la CPAM et accessible à tous les assurés. Enfin, côté shopping, j’accompagne souvent ma fille cadette dans ses trois boutiques fétiches : Karl Marc John (15 rue de la Paroisse), LittleS (18 rue de la Paroisse) et Nat & Joe (31 rue de la Paroisse).

Quels sont vos restaurants préférés ?
Nous sortons souvent en famille, donc je privilégie la convivialité, la simplicité et la qualité de l’accueil. La Cantine des Grands (2 rue André Chénier) ou le Sister’s Café et ses burgers (15 rue des Réservoirs) font bien sûr partie de nos endroits de prédilection quand nous sommes tous les cinq, tout comme le Cameleone Café (19 rue de la Pourvoierie), les restaurants thaïlandais L’Eléphant d’argent (6 rue des Deux Portes) et japonais La Maison Fuji (79 rue de la Paroisse). Nous faisons parfois un crochet par Oh’Liban (79 rue de Versailles, Le Chesnay), où nous nous régalons de délicieux « mezze » soit sur place, soit à emporter. Notre coup de cœur du moment : Derrière l’Eglise, situé juste à côté de Notre-Dame (11 rue Sainte-Geneviève), un nouveau restaurant prometteur où la viande est à l’honneur. Pour les classiques de la cuisine française, direction Le Boeuf à la mode (4 rue au Pain), qui reste a priori une valeur sûre malgré un changement de direction. De temps en temps, nous retournons dans notre ancien quartier pour nous régaler de produits de la mer à La Perle Saint-Louis (5bis rue du Marché Neuf, sur le Carré à l’Avoine), un tout petit restaurant tenu par un couple de poissonniers : certes, la carte se situe dans une gamme de prix supérieure et le cadre n’a rien d’exceptionnel, mais quel bonheur dans l’assiette, tout est extra-frais et impeccablement cuisiné. Enfin, mais plutôt à deux cette fois, nous continuons à aller de temps à en temps à la Véranda (1 boulevard de la Reine) même si la prestation est irrégulière, le lieu est malgré tout unique, avec une mention spéciale à la terrasse en été.

Quels sont vos loisirs à Versailles ?
Mon épouse et ma benjamine fréquentent assidument L’Heure des Mamans (9 rue de la Paroisse), qui en ce qui me concerne pourrait aussi s’appeler l’heure des papas ! J’aime beaucoup cet endroit, à mon sens c’est une vraie réussite : on peut s’y poser, y découvrir des livres, manger une pâtisserie et boire un thé, dans une ambiance vraiment agréable. Nous y trouvons la plupart de nos cadeaux ! Pourquoi acheter ses livres ailleurs, ce n’est pas plus cher et c’est tellement mieux ici, il faut soutenir ce type de boutique… Autre grand coup de cœur de la famille, le chapiteau Méli-Mélo à Porchefontaine (51-53 rue Rémont), qui propose à la fois des ateliers (notamment pendant les vacances) et des spectacles où se produisent régulièrement de jeunes artistes de l’Ecole du Cirque. L’équipe du chapiteau est vraiment sympathique, dynamique, bref, il faut aussi les encourager, c’est une chance de les avoir à Versailles ! Enfin, si de mon côté je ne suis pas un grand sportif, ma femme en revanche adore courir et pratique le running avec l’équipe qui part, chaque mercredi soir à 19h30, du magasin Endurance Shop (24 rue du Maréchal Foch). Au programme, un grand tour qui les amène dans les jardins du château et jusqu’au Haras de Jardy, dans une atmosphère motivante et chaleureuse.

Où sortez-vous le soir ?

Nous sommes des inconditionnels du Cyrano (7 rue Rameau). J’espère que ce cinéma continuera à vivre en centre ville, c’est très important. Pourtant, chaque année, nous craignons de le voir disparaître… Il faut venir au Cyrano, il faut (là-aussi, comme pour la librairie) soutenir ces lieux de culture de proximité. Et pour ceux qui ont peur de ne pas trouver à se garer, rappelons que le temps d’une séance de cinéma au parking du marché coûte environ 1,70€de l’heure, et c’est juste à côté. Quand nous habitions Saint-Louis, nous avions un abonnement au Roxane (6 rue Saint-Simon), où nous aimions découvrir des films parmi la sélection toujours pertinente de cette salle. Il nous arrive aussi d’assister à des spectacles au château ou à l’Opéra Royal, par curiosité, c’est une expérience à faire ! Nous sommes allés également plusieurs fois à la Royale Factory (2 rue Jean Houdon), dont le concept style café-théâtre était inédit ici. Je trouve hélas que l’offre culturelle est assez monolithique à Versailles, et trop peu axée sur la création contemporaine. La sauvegarde du patrimoine, la culture classique, c’est très bien, mais à quand un réseau de médiathèques à l’image de ce qui se fait à Saint-Quentin-en-Yvelines ? A quand une salle de concert où de jeunes groupes pourront être en résidence, enregistrer et se produire en public dans les meilleures conditions ? J’espère qu’un tel projet finira par voir le jour, c’est une des raisons de mon engagement citoyen, avec la défense du respect des différences.

Pour aller plus loin…

Didier Baichère sur Twitter https://twitter.com/dbaichere
Ariane Baichère, diététicienne-nutritionniste http://arianebaicheredieteticienne.wordpress.com/
L’atelier cuisine de Patricia http://www.lateliercuisinedepatricia.com/
Libraire Salon de Thé L’heure des Mamans http://lheuredesmamans.fr/
Chapiteau Méli-Mélo http://melimelo78.fr/
Espace Santé Active http://www.masanteactive.com/consultation/index.php?article=65
Fromagerie Le Gall http://www.legall-versailles.com/
Le bœuf à la mode http://www.leboeufalamode-versailles.com/
Sister’s Café http://www.sistercafe.fr/sisterscafe/
La Cantine des Grands http://www.lacantinedesgrands.fr/
Oh Liban http://www.ohliban.com/
La Royale Factory http://www.royalefactory.fr/
La Ruche qui dit oui http://www.laruchequiditoui.fr/


Le Sept, caviste et bar à vins : un nouveau concept à Versailles

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Le Sept, caviste et bar à vins : un nouveau concept à VersaillesLe Sept, caviste et bar à vins : un nouveau concept à VersaillesLe Sept, caviste et bar à vins : un nouveau concept à VersaillesLe Sept, caviste et bar à vins : un nouveau concept à VersaillesLe Sept, caviste et bar à vins : un nouveau concept à VersaillesLe Sept, caviste et bar à vins : un nouveau concept à VersaillesLe Sept, caviste et bar à vins : un nouveau concept à Versailles

Depuis avril 2014, la rue de Montreuil a enfin « son » bar à vins et le moins que l’on puisse dire est qu’il ne désemplit pas… Sophie et Florent Pavillard, heureux créateurs du « Sept », se dépensent sans compter pour faire de ce lieu un endroit chaleureux et convivial où l’on vient déjeuner, dîner ou juste découvrir des vins autour d’une assiette de charcuterie, parmi les quelque 150 crus que le patron a sélectionnés.

Le midi, c’est complet, le soir aussi… Pensez à réserver quand vous viendrez découvrir Le Sept ! Il faut dire que Sophie et Florent Pavillard ont mis toutes les chances de leur côté, avec une déco un peu rétro et très accueillante, des propositions simples et séduisantes autour d’une carte des vins pleine de surprises. Dès midi, on peut venir se poser pour déjeuner et le soir, à partir de 18h, c’est l’heure de l’apéritif, voire plus si affinités puisque la formule du déjeuner est reconduite au dîner.

Redonner au lieu son authenticité

Florent a passé toute son enfance à Versailles, traînant notamment ses fonds de culotte à Saint-Jean de Béthune du primaire au bac. Diplômé d’une école de commerce, il mène une première carrière pendant vingt-deux ans sur des postes commerce et marketing au sein de grands groupes d’électronique grand public, avant de décider, la quarantaine venue, de prendre le virage de la reconversion. « Depuis le jour où, alors que j’avais à peine 18 ans, mon père m’a demandé de ranger sa cave, je m’intéresse au vin. Pour bien faire, à l’époque, je me suis documenté : les cépages, les régions, les millésimes… Ce fut le début d’une grande passion, que j’ai entretenue au fil des années, car grâce à mon travail j’avais la chance de manger régulièrement dans de grands restaurants et de déguster de bonnes bouteilles. Je me suis dit : pourquoi ne pas changer de vie pour faire enfin un métier en rapport avec le vin ? Les enfants ayant grandi et mon épouse étant prête pour vivre cette nouvelle aventure à mes côtés, nous avons fait le grand saut et décidé d’ouvrir, ensemble, Le Sept » raconte-t-il. Le couple, qui habite le quartier Montreuil depuis quinze ans, commence par chercher un local à Paris avant de se raviser et de s’installer finalement tout près de chez eux, partant du constat qu’il n’y avait pas de bar à vins de ce type à proximité, et que la formule pourrait intéresser les Versaillais. En juin 2013, le restaurant du 7 rue de Montreuil se retrouve vacant : Sophie et Florent sautent sur l’occasion et entament alors des travaux de rénovation, en collaboration avec l’architecte de la ville. « Au début du XXème siècle, à l’origine, le lieu était un commerce de vin doublé d’un café. Nous avons voulu lui redonner son authenticité » ajoute-t-il. Le faux plafond a révélé de superbes poutres, les pierres de taille au mur ont été restaurées et les tons de peinture choisis, autour du rouge bordeaux et du gris, renforcent le caractère rétro du restaurant, dont le comptoir s’habille d’une boiserie d’époque Louis XIV chinée chez un brocanteur à Houdan.

Le vin à prix caviste, sur place ou à emporter

Le Sept est avant tout un bar à vins doublé d’un caviste. Florent, qui se définit comme œnophile (et pas œnologue !) joue la carte du plaisir et de la découverte, avec l’envie de faire partager ses coups de cœur. Le principe est simple : si vous prenez une bouteille en dînant et que vous n’en buvez que la moitié, vous emportez le reste chez vous, sans verser le traditionnel « droit de bouchon » en vigueur dans les restaurants français, d’où des prix très raisonnables. Une formule déjà répandue dans les pays anglo-saxons et qui commence à arriver en France, à Paris en particulier. « Au-delà de la carte des vins, qui compte à date 150 références dont 10% de vins étrangers, je propose chaque jour 5 à 6 vins au verre, au tarif unique de 4€ l’unité. Je suis ravi de voir qu’il y déjà des habitués qui s’en remettent à moi et me demandent de leur faire découvrir des vins, sans a priori » se réjouit Florent. Si vous avez envie d’une coupette, c’est possible, si vous voulez juste acheter une bouteille fraîche pour l’ouvrir chez vous, c’est aussi possible : la carte propose plusieurs champagnes de qualité. Et pour les amateurs, une sélection de spiritueux du meilleur aloi trône sur le comptoir, avec Armagnac, Calvados et Whisky entre autres choses. La carte des vins rend honneur à la richesse du terroir français : Florent se fournit en direct auprès des vignerons, selon un carnet d’adresses qu’il s’est patiemment constitué au fil des années, avec l’aide d’amis et de spécialistes. « Je continue à enrichir ma sélection, avec l’aide d’experts et aussi, désormais, de certains clients qui m’apportent des bouteilles pour me les faire goûter ! C’est formidable l’échange qui peut se créer autour d’un verre de vin. Je constate que beaucoup de jeunes clients ont envie d’apprendre, d’avoir des explications. J’en donne volontiers, mais je ne veux pas non plus sombrer dans trop de technicité, je veux que l’on reste sur le registre du plaisir, avant tout. J’ai d’ailleurs volontairement choisi des verres de 46 cl qui permettent au nez de prendre toute sa part dans la dégustation » précise Florent.

Une carte savoureuse à base de produits du terroir

Dans l’assiette, la formule est simple : chaque jour, Sophie et Florent préparent trois entrées (le jour de ma venue, c’était une terrine de confit de canard, une salade de lentilles ou un moelleux au Maroilles,…), deux ou trois plats (comme ce curry de poulet, entrecôte maître d’hôtel,…) et plusieurs desserts (miam ces fromages gourmands et leur verre de vin, cette tarte au citron meringuée, ce fondant au chocolat et sa boule de glace vanille, ou encore cet exquis gâteau aux pommes de Tante Alice,…), tous faits maison. « Nous avons à coeur de servir une cuisine simple, familiale, élaborée à partir de produits du terroir, provenant de petits producteurs français, choisis pour leur éthique et leur passion du goût authentique.. Les viandes et volailles viennent en direct d’élevages normands, et nous cuisons le bœuf « à la plancha » pour préserver sa tendreté. Le mercredi et le samedi, nous proposons un hamburger maison avec un petit pain que fabrique spécialement pour nous la Maison Avril, notre voisin boulanger » indique Sophie. Et pour ceux qui veulent juste grignoter, la carte propose des assiettes de charcuterie et de fromages.

Formule midi/soir : Plat 12€, Entrée/plat ou Plat/dessert 15€, Entrée/plat/dessert 20€.
Assiettes de charcuterie ou de fromages : la petite 8€, la grande 14€
Vin au verre : 4€ (suggestions du jour)
Vin à consommer sur place ou à emporter : consultez la carte ici !

Le Sept, 7 rue de Montreuil à Versailles
Du mardi au samedi, midi et soir (12h à 14h – à partir de 18h pour l’apéritif).
Téléphone 01 39 49 55 27

http://www.lesept-versailles.com

Facebook https://www.facebook.com/le.sept.versailles

Les filles adorées : la boutique des « petits hauts »

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Les « fashionistas » versaillaises ont une nouvelle adresse dans leur itinéraire shopping : la boutique « Les Filles adorées », qui a ouvert début mai, leur propose une sélection de petits hauts à des prix tout doux ainsi que des bijoux et des accessoires de jeunes créateurs, français pour la plupart. Un petit coin d’inspiration « Rive Droite » en haut de la rue de la Paroisse ? C’est parti pour la visite.

« Les filles adorées », c’est d’abord une histoire de famille ! Muriel et Norma Barbaria, mère et fille dans la vie, ont longuement mûri leur projet avant d’ouvrir leur boutique, le 3 mai dernier, tout en haut de la rue de la Paroisse. Muriel a déjà dirigé des boutiques pour de grandes enseignes de prêt-à-porter et Norma vient d’obtenir son BTS NRC*. Ensemble, elles avaient envie de tenter l’aventure d’un « concept-store ». Leur idée de départ ? Construire leur assortiment autour des « hauts » et autres « tops », comme les ont rebaptisés les rédactrices de mode : débardeurs, T-shirts, pulls, gilets… mais aussi tout ce qui « va avec », soit les accessoires au sens large, des bijoux aux foulards en passant par les sacs.

Une sélection pétillante

De cette envie est née une sélection pétillante qui parle autant à la jeune fille qu’à sa grand-mère… « Nos clientes ont de 10 à 90 ans ! La gamme de prix est très raisonnable, ce qui permet à tous les budgets de se faire plaisir : à partir de 17€ et jusqu’à 38€ pour les hauts. Nos modèles sont aussi assez diversifiés, et peuvent convenir tant à la vie de tous les jours qu’à des occasions un peu plus formelles » indique Norma (en photo). Côté marques, les vêtements sont signés Red Soul, Vero Moda et bientôt Best Mountain (pour la collection hiver). Les bijoux, quant à eux, viennent de plusieurs jeunes créateurs : Karin Ravelli, Les Filles du Sud, Mademoiselle S, Millesime et Very Sisters, sans oublier les accessoires Lucky Team, notamment des coques pour iPhone (4&5). La marque parisienne Les Cakes de Bertrand est également en vedette avec une sélection qui fait la part belle à la maroquinerie. Enfin, les petites culottes rigolotes d’Isabelle Collomb viennent compléter le tableau, présentées avec humour dans des emballages ludiques : cupcake, cadre photo ou mini-pot de confiture.

Les Filles adorées
83 rue de la Paroisse à Versailles
Téléphone 09 82 51 31 41
Lundi 13h30 – 19h00
Mardi – samedi : 10h30 – 19h00
Dimanche : 10h00 – 19h00

Les Filles adorées sur Facebook

*BTS NRC = Négociation et relation client

Day by day : le vrac, c’est chic !

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Day by day : le vrac, c’est chic !

Riz, café, céréales ou savon de Marseille au poids, produits d’entretien au litre : l’épicerie « day by day », installée rue de Montreuil à Versailles, s’affranchit des emballages et suremballages. Venez avec vos boites et bouteilles, découvrez une façon de consommer différente, plus respectueuse de notre rythme de vie et de la planète, loin des diktats du marketing et du « packaging ».

Le saviez-vous ? Selon France Nature Environnement, nous jetons chaque année environ 7 kilos de produits non déballés et non consommés par personne. Les foyers français mettent à la poubelle, en moyenne, entre 500 et 1500 € par an de nourriture encore consommable… Fort de ce constat, Didier Onraita a imaginé « day by day », un concept de magasin de proximité qui propose des produits du quotidien sans emballage et en quantité à la demande, soit près de 400 références vendues au poids : pâtes, riz, céréales, thé, café, épices, farines, légumes secs, fruits secs, biscuits, confiserie et également savons, produits d'entretien et boites de rangement. Après avoir ouvert en mai 2013, avec succès, un premier magasin situé à Meudon-la-Forêt, Didier et ses associés viennent d’inaugurer leur deuxième boutique à Versailles, rue de Montreuil.

Des produits d’origine française pour la plupart, en libre-service

Aux commandes de la boutique versaillaise, Nathalie Garde a le sens de l’accueil. « Nous fonctionnons comme un libre-service accompagné. Soit les clients se servent, soit nous les servons, comme ils préfèrent. Et nous sommes là pour donner des conseils à ceux qui le souhaitent » explique-t-elle avec un grand sourire et beaucoup de bonne humeur. « Nous proposons tous les produits du quotidien, alimentaires et non-alimentaires, à longue durée d’utilisation, soit aucun produits frais » indique Didier, avant de poursuivre : « Environ 40% des références sont bio, mais nous ne jouons pas la carte du tout-bio, afin de conserver des prix accessibles au plus grand nombre. En revanche, nous nous fournissons au plus près des producteurs, en majorité français. Cette sélection de nos fournisseurs et la traçabilité qui va de pair sont des gages de qualité ». Ainsi, les cafés (en grain, à moudre sur place) viennent du grand torréfacteur alsacien Sati et les pâtes, elles-aussi alsaciennes, sont fabriquées par la maison Heimbuger. Même démarche avec les produits d’entretien : fournis sous forme de liquide concentré, ceux-ci sont issus de la chimie végétale et fabriqués dans les Vosges : nettoyants sol ou multi-surfaces, vitres, lessive, tous sont certifiés Ecocert et hypoallergéniques. Day by day distribue enfin les produits d’hygiène corporelle de la savonnerie traditionnelle Marius Fabre, à Marseille : savon à l’huile d’olive (72%) à la coupe ou sous forme de chutes de production (30% moins cher), mais aussi des savons liquides.

La liberté d’acheter la quantité que l’on veut

Concrètement, comment ça marche ? C’est simple : on peut ici acheter la quantité que l’on veut : 100 g pour tester ou 1 kilo, selon son besoin et l’espace de stockage dont on dispose chez soi. La boutique peut vous fournir des contenants, mais ce n’est pas sa vocation : il est conseillé d’apporter ses boites, bocaux et bidons. Et bien sûr, des sachets sont à disposition en boutique. « Une cliente nous a suggéré d’aménager un espace d’échange pour bocaux et boites vides, ce que nous avons fait, et de nombreux clients jouent désormais le jeu, amenant des contenants nettoyés pour les mettre à disposition d’autres clients, gratuitement, plutôt que de les jeter » se félicite Nathalie. Outre les 400 références déjà en magasin, l'enseigne travaille actuellement à enrichir encore son offre, avec notamment une gamme de produits cosmétiques. « Le vrac, c’est meilleur pour soi et pour l’environnement, ça revient moins cher et cela s’adapte à chacun ! C’est une formule éco-responsable, parce qu’elle consomme moins d’emballages, éthique car elle contribue à réduire le gaspillage, et enfin économique parce qu’elle permet de manger mieux avec le même budget » s’enthousiasme Didier Onraita. Alors, venez faire un tour rue de Montreuil avec force cabas et bocaux, vous ne le regretterez pas !

day by day
9, rue de Montreuil à Versailles- Plan d'accès
Du mardi au vendredi : 9h30 / 13h00 - 15h30 / 19h30
Samedi : 9h30 / 13h00 - 15h30 / 19h30
Dimanche : 9h30 / 12h30 - Téléphone 01 39 50 41 96
Site internet http://daybyday-shop.com/
La page Facebook pour suivre toutes les actualités du magasin
Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !Day by day : le vrac, c’est chic !

DietGourmande : des ateliers pour allier plaisir et santé

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DietGourmande : des ateliers pour allier plaisir et santé

Dans son fameux « Atelier cuisine », place du Marché, Patricia Boussaroque a convié la diététicienne Ariane Baichère pour concocter, à deux, un cours de cuisine baptisé « DietGourmande ». Au programme, chaque mois, un menu différent. Objectif ? Se faire plaisir en se faisant du bien ! Une nouvelle occasion de prouver que diététique et gastronomie peuvent faire très bon ménage.

Depuis 2009, Patricia Boussaroque enseigne aux gourmets versaillais les secrets de son art culinaire. « Mon ambition, depuis le démarrage, est de donner aux gens le plaisir de cuisiner, en leur transmettant les techniques de base et en leur apprenant à choisir les ingrédients, en leur faisant découvrir de nouvelles saveurs, de nouvelles associations, en leur donnant enfin de nouvelles idées pour éviter le ronron du quotidien et retrouver le bonheur de se réunir autour d’un repas cuisiné avec amour » explique-t-elle. En septembre 2011, Ariane Baichère vient prendre un premier cours de cuisine. Conquise, elle souscrit un abonnement et sympathise au fil des cours avec Patricia. « Plusieurs clientes me soutenaient alors que des cours de cuisine n’étaient pas conciliables avec le désir de garder sa ligne : j’ai eu envie de leur prouver le contraire, je me suis dit qu’Ariane, diététicienne de métier, était la mieux placée pour m’aider dans ma démarche. De là sont nées nos sessions mensuelles DietGourmande » raconte Patricia.

Mieux se nourrir pour être en bonne forme et préserver sa santé

En effet, halte aux idées reçues ! On peut tout à fait se faire plaisir sans pour autant traumatiser sa balance. Tout est une question de taille des portions, mais aussi de bilan quotidien, d’où l’intérêt de prendre en compte la journée dans son ensemble. « Pendant les cours DietGourmande, alors que les participants sont en train de cuisiner, la parole se libère, les questions fusent, sur des sujets très variés : apport calorique, modes de cuisson, préservation des vitamines, association d’aliments, conservation, etc. Je réponds au fil de l’eau, de façon très concrète, avec des exemples. Nous échangeons tout le long de la préparation, puis ensuite, pendant le repas que nous partageons tous ensemble » précise Ariane. Quant au public de ces sessions, il est très diversifié et comprend certes des personnes préoccupées par leur poids, mais aussi de nombreux cuisiniers amateurs de tout âge, désireux de mieux se nourrir pour être en bonne forme et préserver leur santé. « Avec cette formule, nous voulons prouver que l’on peut manger tout ce que l’on veut, à condition de respecter un équilibre alimentaire global. J’apprends par exemple à certains participants qu’il est inutile de manger de la viande midi et soir, tous les jours, ce qui génère d’importantes économies sur un budget hebdomadaire ! Des économies que l’on peut notamment consacrer à acheter de meilleurs ingrédients pour cuisiner de façon plus qualitative » ajoute la diététicienne.

Un moment convivial et instructif

Concrètement, chaque mois, Ariane et Patricia composent un menu présentant une combinaison entrée/plat/dessert idéale au niveau diététique. En prévision du cours, Patricia fait alors les courses au marché Notre-Dame chez ses fournisseurs attitrés : Garry Guette, L’Espadon, Bougeard, Olives et Tentations, La Maison du Sud-Ouest, Le Gall, Darras… A 10h30, les participants arrivent à l’atelier et font connaissance autour d’un café, avant d’enfiler leur tablier et de se lancer à l’assaut des fourneaux. Chacun a sa fiche recette et peut l’annoter à loisir, afin de ne rien oublier, chacun s’active et, vers 13h, c’est prêt : on passe à table ! Ce mois-ci, le menu « DietGourmande » comprenait une vichyssoise d'asperges à l'anis vert, suivie de petits farcis provençaux et d’un pain perdu aux cerises et à la cannelle, glace vanille (durée de l’atelier : 3h30 / tarif : 90 €). Alors, inscrivez-vous vite pour les sessions de la rentrée afin d’épater vos proches !

L'atelier cuisine de Patricia
4, rue André Chénier
78000 Versailles
Tel : 01 71 42 82 42
www.lateliercuisinedepatricia.com/

Ariane Baichère, diététicienne http://arianebaicheredieteticienne.wordpress.com/

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Les passions de Tom : Versailles en mode vintage

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Les passions de Tom : Versailles en mode vintage

Quoi de commun entre un canapé Le Corbusier et une figurine géante de Bart Simpson ? Réponse : ils trouvent tous deux leur place dans la boutique de Tom Allée, chineur invétéré, passionné par les mythologies du XXème siècle.

Meubles, luminaires, bibelots, jouets anciens : si la part belle est faite aux années 50/70, Tom n’est pas exclusif et propose aussi des articles plus anciens…ou plus récents. Lui qui marche au coup de cœur se considère comme un ‘’passeur’’ : « Je déniche des objets dont des personnes veulent se défaire et organise leur transition vers un autre décor où ils démarreront une nouvelle vie » explique-t-il avec enthousiasme.

La brocante dans la peau

Versaillais d’origine, Tom Allée a toujours aimé traîner dans des brocantes. Il y a quelques années, il décide de se consacrer à sa passion et d’ouvrir sa première boutique, rue du Vieux Versailles. « Avec mon père, nous ne connaissions guère ce monde et avons essuyé quelques déboires au démarrage. Mais la passion était là, ça aide ! Peu de temps après, j’ai sympathisé avec un client passionné de mobilier du XXème siècle. Grâce à lui, j’ai appris à mieux connaître cette période et, de fil en aiguille, j’ai commencé à me spécialiser. Lorsqu’il a quitté le métier quelques années plus tard, j’ai d’ailleurs repris son stand aux Puces du Design à Paris » indique Tom, qui, après avoir quelques temps occupé une autre boutique rue du Vieux Versailles, vient tout juste de s’installer à l’entrée du passage des Antiquaires, au 10 rue Rameau.

Chasse aux trésors vintage

Son stock, Tom le renouvelle en intervenant chez des particuliers qui font appel à lui, mais aussi en écumant les salles des ventes et internet. Grand amateur de mobilier danois, il fait venir de nombreux meubles de ce pays et compte s’y rendre de plus en plus souvent. « Je suis fasciné par la modernité de certaines pièces qui ont pourtant été dessinées il y a plus de 80 ans, à l’image des canapés Le Corbusier réédités par Cassina. La trouvaille dont je suis le plus fier ? Un miroir de Line Vautrin en Talosel, datant des années 50, découvert chez un brocanteur. Le truc le plus délirant que j’ai acheté ? La famille Simpson, de grandes figurines de PLV éditées à la sortie du film éponyme » poursuit-il. Mais qu’on ne s’y trompe pas : si la boutique recèle des trésors vintage, tout n’est pas hors de prix, loin de là, et l’on peut trouver son bonheur à partir de 10€. Alors, aucune raison d’hésiter avant de pousser la porte de chez Tom, pour une parenthèse de joyeuse nostalgie.

Les passions de Tom, 10 rue Rameau à Versailles

(à l’entrée du passage des Antiquaires)
Téléphone 06 60 35 17 45

Horaires : vendredi/samedi/dimanche, de 11h à 19h (et sur RV)

www.lespassionsdetom.fr

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